Les conseils de Pivoine

 
Philippe n'a jamais pratiqué la fessée "diciplinaire" avec sa compagne. Pivoine va lui donner quelques éléments de réponse pour lui permettre de franchir le cap, et pouvoir dire un soir à sa compagre "tu vas recevoir une bonne fessées déculottée..."

 
Bon, ce qui me fait plaisir en tant que femme, c'est le sérieux du mec, son air fermé. Un peu comme quand on joue au Monopoly (on joue, mais on ne rigole pas). 

La faute, ça peut être n'importe quoi, si possible un truc qui ne tient pas la route en vrai. Par exemple, elle n'est pas allée à son travail, alors qu'en vrai elle avait une angine ; ou bien qu'elle est
trop jolie et que le contrôleur du bus la reluque.

Ou mieux encore, ce que j'aimerais moi, c'est qu'on me punisse parce que je panique de culpabilité, de remords, de honte à désirer tellement la fessée, parce que je dis oui, parce que je dis non, parce que je traverse des zones de turbulence psychique, parce que j'ai peur d'être un monstre, parce que je suis jalouse, parce que je n'ai pas confiance en moi, parce que je suis inquiète.

Ca, j'aimerais que ce soit le motif d'une sérieuse punition, un peu comme si la bonne fessée qui fait pleurer, par magie, déculpabilisait des fantasmes, permettait de les "payer" symboliquement, et calmait mon stress en me rassurant sur la vérité d'une relation réciproque entre moi et mon fesseur (on peut toujours rêver). 

Mais ça, c'est ma chimie à moi. 

Et elle ? Si elle éprouve le problème de forts sentiments de culpabilité, il y a des chances qu'un tel scénario lui fasse plaisir et la soulage. 

A la limite, il faudrait le lui demander... éventuellement par écrit...

Quand vous vous êtes mis d'accord sur le motif, tu lui annonces très sérieusement à l'avance
l'heure de la fessée, pour qu'elle balise un peu. Ca va lui flanquer une délicieuse trouille
au ventre, qui fait partie du châtiment !

Le moment venu, tu ne rigoles pas. Tu la couches sur tes genoux et tu lui baisses la
culotte. 

C'est le grand moment de honte pour une femme. Elle va plaquer les mains sur ses
fesses et gémir, mais avec fermeté tu les lui écartes, et là tu y vas. Coups et caresses alternées pour qu'elle souffle un peu.

C'est seulement quand elle sera bien chauffée qu'elle va se faire punir vraiment. 

Tu exhibes un martinet que ta honte à toi aura été d'acheter dans un magasin pour animaux (regards courroucés du vendeur SPA). 

Tu lui donnes dix coups cette fois-ci. 

Elle devra les compter, un à un. 

Si elle compte mal, tu lui en donnes un de plus. 

Si elle souffre trop, elle a droit au mot magique qui suspend les opérations (on n'est pas des sadiques et, au fond, c'est elle qui commande).

Si elle est bonne camarade, elle va pleurer et pousser des cris déchirants qui te feront très
plaisir.

Après, tu l'embrasseras et tout à l'avenant pour l'apaiser et la consoler. 

Ce sera tout pour aujourd'hui.

A mon avis, si ça lui plaît, tu n'auras plus qu'à la laisser trotter : le piquet fesses rouges déculottée, le refus de se déculotter elle-même (sanctionné par un bon coup sur les cuisses), les cris de pitié, le supplice du tapis-brosse (cul nu corrigé assis dessus), la demande d'être attachée par les mains, la gourmandise d'instruments plus terribles, elle y viendra toute seule. 

Il faut aller lentement avec les femmes, sinon elles se braquent pour cause de panique, culpabilité, peur de passer pour une salope, honte réelle d'elles-mêmes et non plus simple jeu de honte, détresse d'aimer et de ne pas être aimée, peur de n'être plus qu'une paire de fesses, peur de l'irréciprocité, solitude.

Bonne chance à tous deux !

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