Manuel du savoir vivre, selon Pivoine

                      "Quand la maîtresse de maison se fait fouetter devant les invités, il est difficile de
                        ne pas encourager le maître de maison dans l'exercice de la juste punition, en 
                        lui prêtant main forte à l'occasion ; c'est le devoir de tout bon invité de participer 
                        à la bonne marche de la soirée. 

                        En revanche, quand la maîtresse de maison est se fait fouettée dans une pièce à part, la politesse veut 
                        qu'on ne fasse point allusion à ses activités".

Il faisait parti d'un service souvenir de famille de mon mari. 

Il a été très contrarié et s'est mis en colère en me disant d'aller dans notre chambre et de l'attendre. 

Puis je l'ai entendu finir le sujet de conversation avec nos amis pendant que je me rendais dans la chambre, ne sachant pas mais me doutant quand même de ce qui allait arriver.

J'avais conscience que je venais de faire une bêtise qui serait sanctionnée, mais j'espérais aussi que la présence de nos invités empêcherait mon mari de sévir immédiatement, et que son courroux aurait le temps de s'apaisait.

J'avais tout faux, il est arrivait peu de temps après moi en laissant nos invités seuls, et j'ai de suite vu le martinet et j'ai su que je n'y couperais pas cette fois.

Il m'a fait retirer ma jupe et ma culotte et je me suis allongée sur le lit.

J'ai été sévèrement fouettée

Il m'a dit de me rhabiller, de sécher mes larmes et de le rejoindre au salon après m'être remaquillée.

De retour au salon, je crois avoir connu la honte de ma vie, le martinet était sur la table basse, et bien sur il ne faisait aucun doute que je venais d'y goûter.

Je crois que j'aurais préféré avoir été corrigée devant eux plutôt que de les laisser imaginer ma punition et surtout d'avoir à répondre à leurs questions peu délicates et indiscrètes.