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Lors d'une soirée avec son amant, Pivoine
se montre particulièrement désagéable.
Elle sera pour celà sévèrement fouettée, à la main, au paddle, au martinet, à la cravache. Alors que la fessée fût appuyée, Pivoine remarqua qu'elle n'en conservait pratiquement aucune marque. C'est que comme le dit Pivoine, elle a été fouettée avec beaucoup d'amour, et pas de retenue tendre. Pour finir, Pivoine s'applique également à fouetter son amant, avec tout l'amour qu'elle a pour lui. |
J’ai reçu moi avant-hier soir une fessée bien méritée.
On était à table avec mon amant, sa chaîne hi-fi s’est mise à ne plus marcher et il s’est levé pour réparer sur-le-champ le câble. J’ai trouvé qu’il ne s’occupait pas assez de moi, j’ai piqué une crise et me suis mise à l’accuser d’être un butor et un malapris, qui ne savait pas se conduire en présence d’une femme, et qui aurait dû attendre un autre moment pour réparer sa chaîne hi-fi. J’ai claqué la porte et je suis allée bouder dehors. Après quelque temps, je suis remontée, vaguement mal à l’aise, avec l’impression d’avoir un peu exagéré. Il m’a reproché mon manque de patience, et l’excès de ma réaction. Je n’avais qu’à le dire posément, qu’on ne répare pas une chaîne hi-fi au milieu du repas ; ça ne méritait pas que je claque la porte et fasse un esclandre aussi violent. J’ai vaguement balbutié que je regrettais. On a mangé. Puis, après le repas, il m’a fait trousser ma jupe et a commencé la sérénade par quelques claques à la main, appliquées à toute volée à travers la culotte et le collant. C’était bien vu, parce que malgré cette double barrière
j’ai été
Il m’a dit de m’asseoir sur le canapé et de l’attendre. Ca me faisait assez mal de m’asseoir, après cette quinzaine de coups, mais je l’ai fait sans souffler mot. J’étais pleine d’appréhension d’avoir eu déjà
tellement mal à
Il a rapporté une brosse à cheveux et un paddle en cuir. Il m’a fait basculer sur ses genoux, a baissé mon collant et sans même m’ôter la culotte, simplement en la retroussant sur les côtés, il s’est mis à jouer des percussions en y mettant le cœur à l’ouvrage. J’ai pris des coups des deux instruments, qui cuisaient fort. Mais le pire était que je l’acceptais. Je pleurais presque, d’humiliation, en sentant ces coups redoutables qui m’arrachaient des gémissements, mais que je sentais avoir mérité. Normalement, quand la fessée est trop dure, on l’interrompt pour un moment, grâce à un mot magique ou à un signe ; je ne me sentais pas le droit de recourir à cette faiblesse, et j’ai encaissé, durement et honteusement, cette fessée résolumment punitive. Comme c’était une punition, elle avait commencé sans ménagement. J’ai eu le souffle coupé dès le premier coup de palddle ; ça ne s’est pas arrangé par la suite. J’ai pris ensuite 18 coups de martinet. C’était presque un repos après la brosse et le paddle, qui sont des intruments terriblement cuisants. Comme ce martinet ne me piquait pas assez, mon fesseur en a saisi un plus petit, avec des lanières rondes en latex, qui n’avait vraiment l’air de rien mais qui m’a donné l’impression d’être piquetée par des milliers de guêpes. J’en ai pris 6 coups, et là j’ai commencé à danser. Je dois avouer que mon sexe était si ému qu’il se fendait comme une grenade, comme cédant sous son propre excès. Féru d’instruments raffinés, mon amoureux a rapporté une cravache pas bien méchante (certainement moins pire que sa main nue !). Il m’a gratifiée en alternance des petits coups bien enfoncés de la cravache et de vigoureuses claques sur les fesses. Comme on dit, j’ai dégusté. Je dégustais à petites gorgées, et c’était de plus en plus difficile de cacher la paresse voluptueuse de mes hanches, leur ondulation de plus en plus marquée. Je ne savais pas que c’était une cravache que je recevais ; je
Mon amant a bien ri après la punition à la cravache, en brandissant gaminement l’instrument que je venais de recevoir. C’était donc ça, la cravache ! Très théâtral, mais moins pire que la brosse ou la main. Du moins était-ce appliqué avec, je crois, beaucoup d’amour et pas mal de retenue tendre. Mais on n’allait pas se laisser attendrir. Il me restait à prendre le bouquet final. Il m’a mise debout, appuyée sur le dossier d’une chaise, pour recevoir d’une sorte de long martinet à une seule lanière tressée, terminé redoutablement par une double langue de feu (avec celle qui pointait entre mes jambes, ça faisait donc trois langues de feu !). J’ai reçu 6 coups de cet instrument vraiment très dur, 6 coups brûlants, délicieusement espacés, car à toute volée c’eût été un vrai supplice. C’était une telle volupté d’attendre le coup suivant que je me suis mise à tressauter et à me tortiller en pleurant (en fait en pleurnichant, plutôt), à tel point que mon amoureux, sévère, m’a rappelée à l’ordre et m’a dit de me tenir tranquille. J’ai stoppé immédiatement mes larmes de crocodile. Mes fesses frémissaient, couvertes de chair de poule, et se contractaient spasmodiquement. Pour finir il m’a prise en levrette, et à chaque coup de boutoir je sentais la brûlure de mes fesses se râper à son ventre, sensation piquante, très excitante. Lui-même a dit avoir apprécié le contact de ce cul brûlant, qui ajoutait à son délice. J’avais l’impression qu’il m’avait lacéré la peau des fesses, mise à vif. Eh bien, pratiquement pas une marque ! Je suis piquetée de deux ou trois bleus minuscules. Pas de quoi sécher l’entraînement de natation ! C’est d’autant plus remarquable que je marque très facilement. Pourtant, au moment de la prendre, j’étais persuadée que cette fessée m’avait atrocement malmenée. C’était une fessée forte, “respectable”, a dit mon amant. Je ne sais pas comment il s’est débrouillé pour me donner
une
Et pourtant, j’ai eu mal le soir en m’endormant. Je sentais mes fesses encore brûlantes; il m’a dit qu’il en était ravi. Mais quel pervers ! Voilà une bonne fessée, légèrement punitive, respectable et respectueuse - et certainement moins forte, bizarrement, que celle que je lui ai donné en retour le samedi matin. Je suis beaucoup plus sensible et moins endurante que lui (normal, c’est un homme, que diable !), et j'ai, somme toute, la main plutôt leste. Après tout, mon amant la méritait bien aussi la fessée. on ne répare pas sa chaîne hi-fi devant les invités, c'est inconvenant ! J'ai adoré cetet fessée "punitive" et j'y repense avec délices. |
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