J’avais décidé, dès mardi, qu’elle recevrait 18 coups de martinet pour les raisons suivantes: 3 pour m’avoir répondu de façon insolente, 5 pour s’être empêtrée dans une histoire de photos qu’elle a rapportées griffées et tachées au lieu de les refuser, et 10 pour s’être emportée de colère alors que je lui faisais remarquer que, pour cet épisode des photos, elle recevrait le martinet sur les fesses afin d’éviter de recommencer. 
Cependant, le mardi en question, alors que nous discutions de la punition à venir et que j’attendais son accord, nous n’avons pas vu le temps passer. J’ai donc préféré reporter au lendemain 21 heures.

Puisqu’elle vient de recevoir de nouveaux instruments (cane anglaise et cravache, mesurant chacune environ 60 cm), je souhaitais les essayer, délicatement, en plus des 18 coups prévus (2 coups de cravache et 2 coups de cane pour mémoire, comme tu dis). 
Je lui ai donc permis de passer un jeans serré pour amortir ces 4 coups. Une largesse appréciée. 

A 21 heures, elle est revenue changée (T-shirt sans soutien, jeans moulant sans culotte ni string et talons hauts), en me disant qu’elle ne trouvait pas les instruments de punition. 
Elle était stressée, moi aussi, le climat ne se prêtait pas à la fessée. J’ai calmé les esprits, en attendant qu’elle soit de nouveau " prête ". 
Ce n’est qu’une heure après que la fessée a commencé. 

Je lui ai demandé de se cacher les yeux au moyen d’un bandeau, puis de se pencher au dessus d’un fauteuil de salon.
Je suis allé chercher moi-même les instruments: cane, cravache et martinet aux lanières en latex (nous en avons d’autres, notamment un martinet aux lanières en cuir, mais il lui laisse de vilaines boursouflures sur la peau: allergie ou réaction cutanée?). 
Deux coups de cravache sur le jeans tendu, bien placés mais pas trop marqués: elle s’est déjà mise à grogner. 
De plus, elle venait de protester car, selon elle, les 4 coups en question, étaient compris dans les 18 coups. Je l’avais pourtant bien précisé la veille: j’ai donc répété qu’ils étaient en supplément et que si elle protestait à nouveau, la punition serait augmentée. 
Bref, l’impact de la cravache traverse apparemment le tissu, contrairement à celui de la cane anglaise : en effet, j’ai dû avoir peur de briser le nouvel instrument, car mon épouse a à peine réagi à la cane. Pas terrible, le bruit de l’impact sur le jeans : un simple " tic "… A essayer la prochaine fois sur les fesses nues, donc.

Le meilleur était pour la suite : j’avais apporté une chaise derrière elle: je l’ai aidée à s’y asseoir après avoir baissé le jeans sous les genoux. Les yeux toujours bandés, ses mains ont été attachées derrière le dossier de la chaise au moyen de bracelets en cuir.
Je lui ai demandé d’écarter les cuisses, tout en baissant le jeans sur les chevilles, puis je lui ai annoncé, en caressant l’endroit, qu’elle recevrait les 4 premiers coups de martinet sur le dessus des cuisses. 
A ce moment, elle s’est mise à sangloter et a refermé les cuisses. 
Je lui ai redemandé d’écarter les cuisses, puis j’ai donné 2 coups à gauche et à droite. 
Je l’ai relevée, tandis qu'elle sanglotait, je lui ai détaché les mains et je l’ai remise en position sur le fauteuil.
Comme elle protestait en pleurant (" quelle humiliation "), j’ai augmenté la punition de 2 coups, en lui disant de compter les coups jusque 20. Elle s’est alors empêtrée dans le comptage (en recommençant à 1, 2…) bien que je lui disais de compter 5, 6… 

A la fin, elle est allée au piquet, les mains sur la tête, le pantalon toujours sur les chevilles, mais elle n’a pas gardé la position et a enlevé de sa propre initiative le bandeau des yeux. 

Au lieu de se calmer, elle semblait sangloter de plus en plus. Elle ne s’est pas laissée effleurer le dos et les fesses. 
Vu la situation, je suis allé ranger moi-même les instruments, en lui interdisant de se toucher les fesses, sinon elle prendrait plus. 
Après maximum 5 minutes, elle s'est calmée et nous sommes allés au lit. Son orgasme est venu après environ 1/4 d’heure.

Depuis, nous n’avons pas parlé de cette fessée.