Le plaisir de Marie

 
L'ami de Marie prend pretexte d'un verre cassé pour lui donner une fessée érotique.

Penchée et décullotée, marie recevra sa fessée à la main et à la ceinture, sur les fesses, les cuisses et le sexe, sans jamais chercher à esquiver le moindre coup.

Finalement, Marie et son ami s'épencheront dans un océan de plaisir. 


 
Un jour, alors que je rentrais du travail, je trouvai Marie dans la cuisine, penchée en avant, rammassant les morceaux d'un verre qu'elle venait de laisser tomber. 

Elle était vêtue d'un chemisier et d'une jupe courte qui, dans la position où elle était, laissait entrevoir le début de ses fesses, ce qui me donna des idées érotiques.

M'approchant d'elle, alors qu'elle venait de se redresser, je l'embrassai légèrement sur ses lèvres et, tout en carressant ses fesses, je lui dis en souriant: "celà mérite au moins une fessée". 

Me prenant au mot, elle me répondit: "si tu penses que je le mérite, alors punis-moi".

Cet accord tacite m'excitat et, la penchant en avant pour bien dégager ses fesses, je soulevai sa jupe et commençai à la fesser, d'abord doucement et en me limitant aux zones recouvertes par le slip. 

Progressivement, j'appuyai mes coups en commençant à claquer la peau nue. 

A un moment, Marie poussa un cri et je lui demandai si je devais m'arrêter. 

Elle me répondit: "non, au contraire, vas-y plus fort". 

Je baissai alors sa culotte et frappai alternativement et de plus ne plus fort ses fesses qui, sous les coups devenaient cramoisies. 

A chaque coup, Marie poussais un cri, mais ne voulais toujours pas refuser la "correction".

M'arrêtant, je passai mes doigts dans sa fente et me rendai compte qu'elle était toute mouillée, témoignant de son excitation.

Je décidai alors d'aller plus loin dans la correction. 

Je redressai Marie et lui demandai de maintenir sa jupe soulevée. 

Puis j'enlevai ma ceinture et commençai à la fouetter, d'abord doucement, puis de plus en plus fort, jusqu'à ce que chaque coup de ceinture marque ses fesses d'une trainée rouge accompagnée d'un cri et d'un mouvement de recul. 

Je m'arrêtai, vérifiai que sa fente étais toujours ausi "émoustillée", puis enlevai sa culotte. 

Je degraffai ensuite sa jupe et lui demandai d'écarter les jambes. 

Je recommençai alors à la fouetter, en accentuant bien mes coups, d'abord sur ses fesses déjà bien striées, puis sur ses cuisses. 

A chaque coup, elle poussais un gémissement, et je lui demandai si elle voulais que je m'arrête. 

Devant son mouvement de tête négatif, je continuai la correction en portant mes coups, d'abord à l'intérieur de ses cuisses, puis sur son sexe, la ceinture allant claquer son pubis. 

Au premier coup, elle ressera ses jambes, puis les écarta à nouveau, encore plus qu'auparavant, m'invitant à continuer, ce que je fis avec bon coeur. 

A chaque coup, elle faisait un bond mais maintenais ses jambes écartées, attendant les prochains coups.

Après l'avoir bien fouetter, je m'arrêtai; je baissai mon pantalon, et je m'enfonçai dans son sexe humide.

Brutalement elle atteignit l'orgasme en poussant un long gémissement.

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