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Magalie reçoit sa première fessée,
des mains de l'homme qu'elle aime. Elle se rend alors compte que son ami
avait également le fantasme de la fessée.
Que de temps perdu ! s'exclame t'elle. |
Contrairement à mes craintes, il me fut assez facile de
convaincre mon prince charmant de se transformer en vilain fesseur.
En fait, je n'avais pas trouvé le courage de lui en parler franchement et j'ai attendu un moment très intime pour lui soumettre l'idée. Pour résumer, nous étions donc au lit, lui complètement nu comme à son habitude, moi vêtue d'un grand tee-shirt faisant office de chemise de nuit (sans culotte malheureusement car j'ai cru comprendre que le rituel du déculottage par le fesseur est très important, ce sera pour une autre fois !). JP, l'homme qui partage ma vie depuis quelques années, était particulièrement en forme et il avait entreprit de me caresser le corps comme il sait si bien le faire. J'étais allongée sur le ventre et ses mains avaient remonté mon tee-shirt pour dégager mes fesses et mon dos. Cela faisait déjà un moment que ses doigts parcouraient mon dos (j'adore !) et mes reins. Je sentais contre mon flanc une très belle érection signe de son excitation intense. Quand ses mains sont descendus sur mes fesses et ont commencé à les malaxer, je me suis dis : "c'est le moment ou jamais". Alors, je lui ai fait part de mon envie d'être fessée. Je craignais une mauvaise réaction de sa part, mais je fus vite rassurée. Aussitôt, il envoya au loin le drap qui nous recouvrait, un frisson me secoua tout le corps, était-ce le froid où l'excitation d'atteindre enfin ce moment tant souhaité. Il me demanda alors de prendre une position que je n'avais jamais envisagée, à genoux au bord du lit, le visage contre le drap comme s'il voulait me prendre en levrette. Ainsi, mes fesses étaient relevées au maximum et complètement offertes. Lui s'était levé et était debout derrière moi. Il me demanda de confirmer mon désir de recevoir cette fessée ce que je fis dans un cri. Il releva alors mon tee-shirt pour bien dégager mes fesses. J'étais très contractée, attendant la première claque mais au contraire, ce fut une douce caresse qui effleura mes fesses. Pendant un moment, JP me caressa ainsi les fesses en faisant des commentaires flatteurs. Puis, alors que je ne l'attendais plus, la première claque s'abattit sur ma fesse gauche. Je m'attendais à ce que JP commence très doucement mais cette claque me semblais assez forte. Je ne pus retenir un cri de douleur mêlée à la surprise. Il me demanda aussitôt s'il m'avait fait trop mal et si je souhaitais arrêter là. Je ne pus dire qu'un mot : "Continue !". Une seconde claque vint frapper mon autre fesse, plus douce que la première. Puis JP se mit à enchaîner les coups sur mes deux fesses, tout aussi doucement au départ puis un peu plus fort et de plus en plus vite. Je fus très étonnée, lui d'un naturel si calme et si bien élevé, de l'entendre m'adresser des paroles crues du type : "Tiens, prends ça sur tes belles fesses de salope, tu en veux, tu vas en avoir, je te garantis que tu auras de mal à t'asseoir après ça". C'était la première fois qu'il me parlait ainsi. J'étais excitée comme jamais. Je ne sais pas ce qui m'excitait le plus, l'humiliation de la situation, la douleur (très supportable ma foi) où ces paroles, mais je sentais une chaleur magnifique prendre possession de tout mon corps et pas seulement de mes fesses. JP semblait lui aussi trouver une forte excitation à cette situation. Je n'ai pas compté les coups, mais il s'occupa ainsi de mes fesses pendant plusieurs minutes, je sentais une jouissance inconnue me gagner petit à petit. JP me donna une dernière claque bien plus forte que les autres et je m'affalais à plat ventre sur le lit. JP me demanda alors s'il n'était pas allé trop loin et la seule réponse qui me vint fut : "Vite, fais-moi l'amour !". Il me remit alors dans la même position que précédemment et me pénétra aussitôt en levrette. Il me prit avec une vigueur que je ne lui avais pas connue depuis longtemps. Je hurlais très vite sous l'orgasme comme je ne me souviens pas de l'avoir déjà fait. JP ne se retint pas plus longtemps et sa jouissance me sembla à la hauteur de la mienne. Nous nous écroulâmes sur le lit et je sombrais dans une sorte de demi-sommeil. Je sentis JP se lever pour aller dans la salle de bain puis je l'entendis revenir. Je sursautais alors en sentant quelque chose de frais sur mes fesses chauffées au rouge. C'était JP qui passait sur mes deux globes de la crème apaisante. Le contact de ses mains sur mes fesses endolories m'électrisa et je ne tardais pas d'être à nouveau excitée et je lui criais mon envie d'être prise. Nous avons vécu probablement notre plus belle nuit depuis bien longtemps. Comment ai-je pu attendre aussi longtemps avant de lui faire part de ce fantasme ? Il m'est évident à présent qu'il partageait le même sans que je ne le sache. Que de temps perdu !
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