La fessée d’Isabeau
Il était environ 21h00, Isabeau n’était pas encore rentrée. Elle était partie faire des achats, profitant qu’en début de soirée, il y ait moins de monde dans les grandes surfaces que dans la journée.
Tout à coup, le téléphone sonne. C’est Isabeau qui m’avertit qu’elle sera de retour vers les 21h30, et de ne pas m’inquiéter. Avant de raccrocher, elle me chuchote :
- « j’ai envie de toi »
- « moi aussi, ce soir je voudrais rougir tes fesses »
Elle rie
- « à tout à l’heure », me dit t’elle..
Cette rapide conversation m’a mis en émoi. Quand Isabeau rentrera, il faut qu’elle me trouve prêt à la fouetter.
Quand Isabeau est fouettée, j’établis un scénario, souvent très simple, mais qui ajoute au piquant de la situation. Cette fois-ci, Isabeau sera fouettée à la ceinture et à la canne.
Pour cela, je me dirige vers un saule pleureur qui se trouve dans un coin du jardin. Je choisis une branche, ni trop grosse, ni trop fine, que je coupe.
Au début, je taillais les cannes de punition en enlevant l’écorce
de la branche choisie, ne laissant qu’une partie de dix centimètres
de long environ pour la poignée. Cela me faisait de belles cannes
de discipline.
Mais, je me suis aperçu que le fait d’enlever l’écorce
fragilisait considérablement la canne, et il n’était pas
rare que celle-ci se brise lors de la séance de discipline.
C’est pourquoi, maintenant, je ne touche plus à l’écorce
de la canne. Je me contente d’enlever les boursouflures au niveau des nœuds,
en prenant bien soin de ne pas créer d’amorce de ruptures.
La canne étant prête, je la pose sur la table du salon, bien en évidence. Ainsi quand Isabeau entrera, elle verra immédiatement l’instrument, et n’aura ainsi aucun doute sur la punition qui l’attend.
Maintenant, je vais chercher une ceinture de cuir dans une armoire, que je pose enroulée à coté de la canne.
Il est environ 21h30.
J’entends la voiture d’Isabeau entrer dans la cour de la propriété.
Je regarde par la fenêtre.
C’est bien elle.
Elle gare sa voiture à coté de la mienne.
Elle entre dans la maison.
- « Bonsoir Isabeau »
- « Bonsoir Stephen »
- « As tu passé une bonne journée ? »
- « Oui plutôt bonne, j’ai envie de te fouettée
», lui dis-je immédiatement à l’oreille
- « Je vois », me répond t’elle en regardant en
direction de la table de salon
Je l’embrasse
- « met toi nue »
Isabeau commence à enlever ses vêtements, d’abord son chemisier,
puis sa jupe et enfin ses bas « dim ».
Elle est maintenant en culotte et soutien gorge.
Je m’approche d’elle,
passe derrière elle,
dégrafe son soutien gorge,
baisse sa culotte.
Quelques mouvements de pieds l’en débarrasse définitivement.
Maintenant Isabeau est entièrement nue,
soumise,
prête à recevoir sa punition.
Isabeau n’est pas l’unique personne que je fouette. Et toujours, la personne fouettée, femme ou homme doit être entièrement nue pour recevoir sa punition. Cela ajoute à l’humiliation et à la volupté de la fessée.
Je m’assoie sur une chaise
Je demande à Isabeau de s’allonger en travers de mes genoux.
- « Je souhaite d’abord rougir tes fesses à la main. Ensuite seulement, nous passerons à la ceinture, puis à la canne. »
Isabeau accepte le scénario d’un geste de la tête,
puis vient se mettre en travers de mes genoux.
Ces fesses sont bien rebondies dans cette position.
Je les caresse longuement,
puis, je lève la main,
j’applique la première claque, plutôt modérée.
Isabeau ne bouge pas,
ne dit rien.
Une seconde claque, un peu plus appuyée que la précedante
la fait légèrement gémir.
La troisième, immédiatement suivie de la quatrième
commence nettement à rougir ses fesses.
Maintenant, les claques s’enchaînent, de plus en plus fortes.
Isabeau gémit à chaque claque,
mais ne bouge pas,
ne cherche pas à protéger ses fesses de ses mains.
Je ne sais pas combien de claques elles reçue, plus d’une vingtaine je pense.
Ses fesses suffisamment rouges,
et donc correctement préparées,
Je m’arrête.
- « Lève-toi, Isabeau »
Je me lève également.
Je lui indique le canapé,
et lui demande de s’y allonger en travers, sur un accoudoir.
Ainsi, Isabeau a les pieds par terre, le corps contre le canapé, et les fesses bien mises en évidence par l’accoudoir.
Je me saisis de la ceinture,
je la fais passer le long de ses cuisses.
Isabeau peut sentir la froideur du cuir sur sa peau.
Dans quelques instants, ce même cuir marquera ses fesses.
Il est convenu qu’Isabeau recevra une dizaine de coups de ceinture.
Le premier coup de ceinture s’abat.
Très supportable,
donné avec un très grande modération.
Le second coup est porté avec plus de vigueur,
Les autres encore plus forts que les précédants.
Cette fois, Isabeau gémit vraiment.
Entre deux coups,
elle passe sa main sur ses fesses,
comme pour les apaisser de la morsure du fouet.
Nous arrivons au neuvième coup.
Je prends mon temps,
passe plusieurs fois la ceinture le long de ses cuisses,
ajuste le coup,
puis l’applique avec une extrême vigueur.
Isabeau gémit très fort,
et m’assure qu’à lui tout seul ce neuvième coup
vaut bien les huit précédants.
Je lui fais observer qu’il en reste encore un,
et qu’il va valoir les neufs coups déjà reçus.
Isabeau se remet correctement en position,
respire un grand coup comme pour prendre sa respiration avant une plongée
en apnée.
Je lui demande :
- « Es-tu prête ? »
- « oui , tu peux y aller ».
Le coup retentit, sec, net, clair.
Isabeau émet un petit cri,
puis gémit longuement.
Elle passe sa main sur ses fesses,
mais reste allongée,
comme si elle attendait quelque chose.
Je pose la ceinture sur la table,
je caresse les fesses d’Isabeau.
Les marques faites par la ceinture sont bien visibles.
Je m’aperçois que l’extrémité de la ceinture a
porté plus sur un endroit de la fesse.
De belles marques de la largeur de la ceinture zèbrent maintenant
les fesses d’Isabeau.
J’aide Isabeau a se relever,
je l’embrasse à pleine bouche.
Je lui propose à boire.
Nous nous assoyons sur le canapé,
et buvons un jus d’orange.
La canne de discipline est toujours sur la table du salon.
Je la prends,
la manipule dans l’air.
Son sifflement laisse deviner combien sa morsure doit être dure.
Je fais remarquer à Isabeau que la séance de discipline
n’est pas finie,
et qu’elle doit recevoir la canne.
- « Je sais », dit t’elle, « combien de coups de canne
souhaites-tu que je reçoive ?».
- « J’ai pensé à une série de cinq coups.
»
- « C’est d’accord, je prends la même position que pour
la ceinture ? »
- « Bien sur »
Isabeau se lève immédiatement, pose son verre sur la table de salon, et reprend la position en travers du canapé.
Je me lève,
me saisi de la canne,
et me place correctement.
J’ajuste le premier coup de canne,
et l’applique tout de suite avec vigueur.
Isabeau émet un long soupir,
mais ne bouge pas.
Le second coup est appliqué de la même manière,
la réaction d’Isabeau est identique.
J’examine les résultats des deux premiers coups .
Le premier coup forme nettement une zébrure en travers de ses
fesses.
Le second commence également à donner son résultat.
Au bout de quelques secondes,
deux belles zébrures marquent les fesses d’Isabeau ;
Je prépare alors Isabeau au troisième coup,
elle le reçoit avec plus de vigueur que les deux premiers.
Cette fois, le soupir fut plus long,
comme si Isabeau était essoufflée après une course.
Le quatrième coup arrive encore plus fort,
cette fois Isabeau a un petit cri,
et pose sa main sur ses fesses,
autant pour les protéger que pour les apaiser.
Je lui demande de reprendre correctement la position pour le dernier coup.
Isabeau sait que cet ultime coup de canne, sera comme le dernier coup
de ceinture, donné avec une vigueur extrême.
Elle s’y prépare,
puis elle reçoit le coup.
Comme elle le pensait,
ce dernier coup de canne est terrible.
Le «oh » qu‘elle pousse témoigne de la morsure du coup.
Isabeau reste en position,
se caresse ses fesses, pour calmer la douleur.
J’examine le résultat de la canne.
Il est magnifique.
De superbes zébrures marquent en travers les fesses d’Isabeau.
Quand elle se relève,
je l’embrasse,
je lui décris ses fesses.
Nous allons devant une grande glace,
où avec une contorsion mal aisée,
Isabeau peut voir le résultat de la séance de punition.
- « Je suis très fière des ces marques », me dit t ‘elle, « d’abord parce que j’ai supporté la douleur pour les avoir, ensuite, parce que toutes les femmes n’ont pas la chance comme moi, d’être fouettées par l’homme qu‘elles aiment ».
Nous nous embrassons,
et faisons l’amour plus d’une heure durant. Mais cela, c’est une autre
histoire.