C’est au retour d’une réunion régionale dans la ville
voisine que des circonstances favorables pour chauffer les fesses de ma
maîtresse se sont présentées.
Marie-Pierre et moi nous sommes respectivement président et
elle secrétaire d’une « association philosophique ».
En prévision d’un congrès, elle devait rédiger
un rapport sur une question a soumettre aux membres de notre société.
Nous devions régler les derniers détails ensemble.
En riant je lui ai dit :
- Il faut que tout soit prêt pour mercredi prochain, sinon… :
la fessée.
Elle ne fit aucune remarque à mes propos, j’en déduisais
donc que le rapport serait prêt pour le mercredi suivant et que ma
menace était totalement conne, malvenue, absurde. Après quelques
instants de silence, de sa voie douce, elle me dit :
- Depuis le temps que j’entends parler de fessées comme
ci, de fessées comme, çà, par-ci et par-là
je me demande quel effet çà peut faire à celui qui
la donne et à celle qui la reçoit.
Un petit frisson coquin éveillait mes sens, son interrogation
me donnait de l’espoir et la privauté de poursuivre notre conversation.
_ Qui te parles de ces choses là ?
- Dans diverses circonstances, ma sœur, une amie, des patientes m’ont
avoués avoir reçu des « fessées »…
- Je suis prêt a te parier que les motivations des « fesseurs
» de ta sœur, de ton amie, de tes patientes sont différentes
les une des autres !.
- Qu’entends-tu par-là ? Tu as l'air d’être bien
informé !
- Il y a deux types de fessées : la fessée punitive
ou coercitive : celle que l’on administritre à un enfant, un adulte
pour le punir et le faire rentrer dans le bon chemin. A l’opposé
il existe la "petite fessée d’amour" : celle que l’on donne à
son/sa partenaire pour l’exciter, pour stimuler sa libido. Bien servie,
c’est la rencontre magique de la " souffrance supportable " et de la jouissance.
Le divin Marquis n’a pas inventé mieux.
- Tu as déjà donné des fessées à
des femmes
-Oui et j'en donne encore à Aline mais considère ma réponse
comme un secret.
- Et qu’elle genre de fessées lui donnes-tu ?
- Les deux, des sévères et des fessées d'amour.
- Si je le méritai, tu serais capable de me distribuer
une fessée.
- Sans aucun doute, si tu veux, tu en auras la preuve si l’occasion
se présente !
Nous arrivions dans un village, c’est elle qui me proposa un arrêt
pour boire un café. En définitive, je le sais maintenant,
elle avait une terrible envie de soulager un besoin solitaire.
A son retour elle me dit :
- Banco ! Je ne veux pas mourir idiote…j’accepte ton « deal
», mon mari par pudeur ne me soumettra pas à ce jeu. De mon
coté, je ferai tout pour éviter ton courroux… mais si un
jour je manque à mon devoir n'hésites pas de faire le tien,
après tout, c'est toi le chef !
Habitué aux promesses fallacieuses que les femmes savent donner,
je devais être prudent.
Malgré tout, sur le coup, j’étais stupéfait.
Les journées s’écoulaient lentement, j’attendais qu’elle
me confirme notre rendez-vous du mercredi pour travailler sur le dossier
en question.
Un soir, ni tenant plus, je me suis masturbé en construisant
un scénario grandiose sur la manière de rosir le si joli
popotin de ma « secrétaire » bien-aimée.
Le lendemain, par téléphone, elle m’assura qu’elle serait
chez moi le mercredi suivant vers seize heures.
Le jour même je lui envoyais par un e-mail ce message:
" Tu connais notre " deal " et la sanction ! Travail bâclé
= fessée. Dans l’hypothèse ou tu n’es pas sûr de toi
viens en jupe… ont gagnera du temps.
Bisous"
.
Sans conteste, les arrivées de Marie-Pierre sont toujours grandioses.
Grande, brune aux yeux bleus elle porte très bien la toilette. Ce
jour là elle était superbe dans sa simplicité. Une
longue jupe au boutonnage provoquant, une chemise blanche ouverte sur la
naissance de sa poitrine elle était splendide. Outre l’élégance
vestimentaire pour une réunion de travail avec son « président
» elle avait un maquillage rayonnant. En la voyant j’ai pensé
à l'apparition d'une sirène, à une ruse magique du
destin, aux rêves éveillés. Pourtant c’était
bien elle !
A cet instant, j’avais le tract de l’artiste qui entre en scène.Contrairement
à son habitude, le travail que j’attendais était bel et bien
" bâclé ", je lui fis remarquer, elle ne s’en défendait
même pas. Je lui ai dit alors que j’allai lui appliquer une bonne
fessée qu'elle méritait en insistant sur le caractère
punitif de la sanction.
A ma grande surprise, au lieu de s'excuser en invoquant je ne sais
quel prétexte, elle est instantanément devenue toute rouge
en bredouillant que c'était la première fois...
Son regard extériorisait l'ultime réserve de pudeur.
Elle s'enferrait vainement dans des faux-fuyants obscurs. Avec stupeur
je réalisais brusquement que ma maîtresse, confortablement
installée, respectée socialement, amoureuse de son mari et
de son entourage fantasmait de se faire fesser comme une gamine de onze
ans.
Je n'eus pas beaucoup de difficultés à la convaincre
qu’il s’agissait d’une fessée coercitive et qu'il n'y avait aucune
raison de voir du vice la dedans. Pour elle, ce serait une expérience
- un point - c'est - tout...
Gauche, les joues empourprées, se dandinant
d'un pied sur l'autre, toute son assurance envolée elle n’était
pas fière Marie-Pierre. Moi, rentrant dans mon rôle de
Président mécontent, je lui affirmais d'un ton autoritaire
que la fessée se donnera sur mes genoux. Je lui explique la position
à prendre et je lui enjoignais fermement de retrousser sa jupe sur-le-champ.
De plus en plus rouge, elle s'exécuta sans mot dire en remontant
sa jupe autour de sa taille dévoilant une mignonne petite culotte
en coton blanc agrémentée de fines dentelles. Assis sur une
chaise du salon je lui ordonnais d'un ton sans réplique de venir
s'allonger sur mes genoux pour recevoir « sa fessée »,
ce qu'elle vint faire docilement. Je profitais
un instant de la vue de sa croupe somptueuse offerte sur mes genoux.
Je parcours des yeux les formes élégantes de son corps, qu'elle
est belle. Tout en savourant ces instants de bonheur, je recherchais la
cambrure parfaite de ma main pour appliquer sur un si joli derrière
l'horion qu'elle attendait… Puis j'ai donné le premier coup.
Après une série d'une quinzaine de claques résonnantes
bien distribué, je m'arrêtais un instant. Je lui dis ironiquement
qu’il s’agissait que d'un échauffement, qu'elle allait savoir comment
se donne la vraie "fessée à cru". Réalisant que j'allais
passer à un degré supérieur et que les derniers remparts
de sa pudeur allaient sauter elle a tenté de protester, mais moi
bien dans mon rôle d'applicateur de peine je l'ai maintenue fermement
en lui expliquant que l'humiliation qu'elle allait ressentir faisait «
partie du traitement » qu'une vraie fessée
se donne fesses nues pour être bien sentie, et enfin qu'elle
se devait d'assumer complètement la punition qu’elle avait bien
méritée. Domptée, elle s'est laissé déculotter
sans protester, soulevant même son bassin pour laisser glisser sa
petite culotte jusqu'à terre.
Bon dieu ! Je découvre encore une fois ses fesses d'une extrême
beauté, rondes, relevées, la nature n'a rien modelé
de plus beau. quelles fesses à claques ! Je laissais passer quelques
instants me délectant autant de son humiliation que du spectacle
de ces hémisphères rebondis déjà bien roses,
puis je me remis au travail. J'y allais méthodiquement, dispersant
les impacts en prenant bien soin de la surprendre tout en augmentant graduellement
la force des coups jusqu'à obtenir une couleur écarlate du
plus bel effet... Elle gémissait en poussant des petits cris de
chienne battue. A chaque tarte elle se trémoussait sur mes genoux,
levant, écartant les jambes me laissant voir, toute pudeur disparue,
ses replis les plus intimes...
Après quelques minutes de ce traitement, quand ses belles fesses
eurent une couleur cramoisie uniforme, je m'arrêtais enfin. Nous
sommes restés un moment ainsi, moi à contempler le magnifique
panorama et elle, les jambes légèrement écartées.
Puis je lui ai ordonné de se relever et, je l'ai regardée
un instant, debout devant moi, échevelée, campée sur
ses cuisses racées…
Je lui ai dit alors que jusqu'à présent elle n'avait
fait que subir le traitement que l’on donne pendant « une fessée
d’amour », qu'il s'agissait là que d'un jeu divertissant,
mais que le but de notre « deal » était bel et bien
celui d'une fessée coercitive. Elle protesta un peu.
- En bâclant ton travail tu savais ce que risquais. Tu mérites
bel et bien cette punition n'est-ce pas ?
Serrant les dents elle a acquiescé sans rien dire. Docile,
elle a obéi quand je lui ai ordonné de se courber au dessus
de la table, la tête entre les bras, les jambes légèrement
écartées, fesses offertes... Ses deux cuisses racées
s'écartaient harmonieusement de chaque côté de la «
fautive ». Elle était là, à ma portée,
ses deux globes ronds, blancs et charnus bien en évidence, séparés
par une raie sombre, trouée d'une rosette, allant en s'élargissant
jusqu'au bout du monde qui encadrait deux fines feuilles de rose. Après
un coup d'œil à l'étalage de toutes ces beautés, j'ai
saisi mon martinet (celui que je donne à Aline), levé mon
bras armé et dans un sifflement, j'ai administré la première
cinglée.
Un nouveau coup résonna, puis un autre. Les coups se succédèrent
alors au milieu du seul bruit mat de la peau froissée. Mais
en dépit de sa volonté, la chair de Marie-Pierre tressautait
à chaque cinglée. C’était terriblement excitant
de voir cette superbe croupe se trémousser sous la morsure des lanières
puis revenir docilement en place pour attendre le coup suivant. Expert,
je la fouettais assez fort pour lui faire sentir les piqûres en ayant
soin cependant de ménager sa peau et en espaçant les coups
pour jouir de tous les tressaillements de sa chair et de l'angoisse instinctive
qui lui faisait serrer les fesses dans l'attente de la cruelle atteinte.
A chaque morsure des cinglettes qui zébraient de plus en plus la
peau de son joli derrière, elle gémissait, pleurnichait,
dansait d'un pied sur l'autre.
Tout en la maintenant d'une main je la punissais de l'autre. A ma grande
surprise, aux postures qu’elle prenait et aux cris qu’elle poussait, je
me suis demandé si elle ne retirait pas quelques « satisfactions
» de cette séance. Etrangement, sous les meurtrissures du
cuir, que je dosais savamment elle m'implorait plus l’arrêt de la
punition. Mais, les bonnes choses ont une fin, je me
suis arrêté comme promis au douzième coups de martinet.
Son corps entier était pris de spasmes tout en écartant
les jambes et en trémoussant son derrière pour apaiser le
feu de ses fesses. J'ai vu des perles de rosée couler de son ventre.
Devant ce spectacle, je me suis empoigné la verge et lentement,
virilement j’ai soulagé la tension qui régnait en moi par
de longs traits de sperme sur ses fesses.
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