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Pivoine nous raconte comment elle a connu le
“the silent rubber whip”, ce petit fouet silencieux qui nous vient des
USA.
Elle sera également sévèrement fouettée à l'occasion de son anniversaire, et recevra autant de coups de martinet, de cravache et de fouet, qu'elle a de primtemps à fêter : 42. Comme toujours, s'agissant de fessées données dans le cadre de la vie amoureuse, Pivoine et son amant feront "l'amour avec une folle tendresse". |
Il y a quatre jours, j’avais fait de la peine à mon cher amant.
Il est arrivé pour dîner, le soir, avec un air fermé et triste, parlant à peine, atone, lointain. Entre lui, ma fille et moi, la conversation pesait. Puis nous avons mis un film de Jouvet, et je l’ai senti qui se détendait ; il m’a caressé cuisses et fesses à la faveur de la sombre projection, et il a retrouvé son sourire. Toute heureuse, j’ai pensé qu’il en fallait bien peu pour faire d’un homme, quand on est une femme, tout ce qu’on veut. O confiance imprudente ! Ma fille couchée, il m’a montré un catalogue relatif à son travail ; nous en avons parlé le plus benoîtement du monde. Je ne sentais rien arriver quand il s’est levé pour passer dans l’entrée. Il est revenu les bras ballants, s’est à demi allongé sur le lit et soudain m’a ordonné, avec une sévérité extrême, de me mettre à genoux et de baisser ma culotte. L’esprit bloqué, j’ai obéi, presque machinalement, et j’ai soudain vu sa main prolongée d’un redoutable petit fouet noir en latex, à deux longues lanières rondes, assez petit pour avoir tenu dans la poche de son blouson ! J’ai compris en un éclair qu’il s’agissait du fouet silencieux dont il m’avait parlé plusieurs fois, “the silent rubber whip” qu’il avait commandé aux USA. Posément, mon amant et maître adoré m’a demandé si je croyais ou non mériter une vraie correction punitive, eu égard à la peine que je lui avais fait la veille lors d’une conversation très orageuse qui nous avait opposés durement. Tête basse, j’ai dit oui. Il a précisé que la correction en serait en rien érotique, que le but était de me punir et non de me faire jouir. Le petit fouet, on allait le voir, était parfaitement silencieux ; rien ne troublerait le sommeil de ma fille, si je savais réprimer mes cris. La correction a commencé, avec ce fouet minuscule, la plus redoutable que j’ai subi jusqu’alors. Moi qui hurle si facilement, qui supplie et qui gémis, j’ai dû ravaler mes larmes, étouffer mes cris en mordant le drap du lit. La douleur, presque intolérable, me mettais au bord des larmes. Impitoyable, pendant que je murmurais “arrête, arrête, par pitié arrête”, mon amant multipliait sur mes fesses un déluge de coups atrocement cuisants. Au bout de trente ou quarante coups, j’étais comme brisée intérieurement : humiliée à mort, humilée de n’être pas parvenue à fléchir ou à embobiner mon amant, sentant tout mon pouvoir inutile, humiliée de sentir que je méritais cette correction. Je ravalais mes larmes brûlantes, je pleurais dans une grimace presque silencieuse, j’avais en moi comme une force de révolte que je sentais implacablement matée pour ma plus grande honte. Mon amant riait, d’un rire diabolique, de ma déconfiture et de ma honte. Vraiment, il ne m’a pas épargnée. La douleur était si forte, sur une des fesses, que je faisais des soubresauts à chaque fois que, par jeu cruel, il passait sur cette fesse sa main faussement caressante. Puis il m’a ordonné d’ouvrir les cuisses en grand et, parachevant mon humiliation, a plongé ses doigts dans mon sexe, qu’il a eu le plaisir et la surprise de trouver mouillé à souhait. Il m’a ordonné de caresser son propre sexe et nous avons fait l’amour avec une folle tendresse. Le complément de ma punition était d’écrire, sous 48 heures, la confession de ma honte. Je ne l’ai pas fait - soit manque de temps, soit rébellion larvaire. J’ai donc reçu hier soir un complément de programme : 20 coups très forts d’un martinet texan à deux fortes lanières de cuir, très longues, et 20 coups de cravache appliqués vigoureusement. Je ne devais prendre que 20 coups du martinet, mais j’ai pris la cravache en plus, parce que j’avais refusé de me déculotter moi-même. Comme j’allais avoir 42 ans, mon amant s’est avisé que, pour mon anniversaire, il pouvait gratifier en plus chacune de mes fesses d’un bon coup du fouet silencieux que je redoutais tant, fouet qu’il réserve désormais à ses fessées punitives. J’ai reçu les deux coups en hurlant tout mon saoûl, et j’ai eu le droit de sauter dans toute la chambre en tenant à deux mains mes fesses endolories. 42 coups, j’avais mon compte ! J’ai été envoyée au coin, fesses nues, la culotte à mi-cuisses, avec un petit tee-shirt qui couvrait mes seins libres de tout soutien-gorge. Venant par derrière moi, mon amant a retroussé le tee-shirt et a infligé à mes tétons pinçures, torsion et étirement, afin de me faire encore un peu chanter. Et nous avons fait l’amour derechef... Comme ce samedi matin c’était le jour de mon anniversaire, il a pris un tabouret, m’a couchée sur ses genoux et m’a donné une fessée manuelle; il sait que je les adore tout particulièrement. Si je n’avais pas écris la confession de toutes ces humiliations, j’aurais eu 84 coups - mais là, je crois qu’il faut mieux ne pas tenter le diable, et filer doux... |
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