Il lui précisa qu'elle ne devait pas parler aux autres femmes.

Anne-Marie pouvait deviner ce qui se passerait si elle enfreignait la consigne.

Elle avait vu que les gardes portaient des lanières en cuir à la ceinture.

David l'a laissa.

Anne-Marie s'est rendue compte que la chaîne "mordaient" ses poignets.

Mais quoiqu'elle fasse, elle agravait sa douleur, et à chaque fois qu'elle bougeait, ses fesses lui faisaient horiblement mal.

Les trois filles sanglotaient encore.

C'était affreux! Anne-Marie n'avait aucune idée du temps qui passait.

De temps en temps des policiers entraient dans la pièce, et examinaient le travail de la canne sur nos fesses.

L'un d'eux, à peine sorti de l'adolescence, n'avait pas hésité à donner quelques claques sur les fesses d' Anne-Marie. Cela lui fit vraiment mal, mais personne ne dit rien. Cela l'encouragea, et il poussa son audace à passer ses mains dans l'intimité d'Ann -Marie. Elle tenta de se dégagea en dépit de la douleur, cela eu pour seul résultat de le faire l'amuser, puis il sorti.

A moment donné, Na'ima chuchota quelque chose à Suhayla.

Malheureusement les gardes l'entendit.

L'un d'eux s'approcha le fouet à la main, et lui administra de toutes ses forces trois coups de lanières sur les fesses.

En même tempos, un autre garde s'était positionné derrière Suhayla et lui appliqua la m^me punition.

Na'ima hurla comme une folle. Anne-Marie ferma les yeux et pria pour que ce cauchemar se termine.

Les trois filles sont maintenant complètement soumises.

Le silence était total. Suhayla n'osa même pas demander l'autorisation d'aller au toilette, et se soulagea sur place.

Son silence ne lui permit pas d'échapper à une punition.

Et elle reçue six coups de lanière.

Finalement le fourgon arriva et Na'ima et Suhayla fût décrochées, on leur fit mettre un uniforme de prisonnière, puis elles sortirent.
Anne-Marie resta seule.

On l'a décrocha également, elle était encore entièrement nue. On lui fit nettoyer le sol de la pièce salit pas Suhayla.

Enfin, on lui redonna ses vêtements, et on lui permit de se rhabiller.

Puis, on l'amena jusqu'au bureau du chef de la police, David était déjà là.

Il lui signifia qu'elle avait vingt quatre heures pour quitter le pays.

Elle ne répliqua pas, même quand le policier souleva sa jupe pour vérifier une dernière fois le résultat de la punition.

Arrivée à l'hôtel, David, l'enlaça et l'embrassa.

Il lui parraissait normal qu'il puisse disposer d'elle comme il le désire. N'avait t'elle pas été dressée ces dernières heures. Elle se sentait maintenant entièrement soumise, et en éprouvait une certaine vopluté.

Les marques sur ses fesses augmentait l'exitation de David, il lui fît sauvagement l'amour.

Anne - Marie ne revint jamais en Arabie séoudite.

Depuis, David était revenu à Londres; Ils se sont revus et elle est devenue sa maîtresse, ou plûtot sa soumise.

Effectivement, il utilise régulièrement la canne ou la lanières pour la dresser.

Maintenant, elle supporte mieux les punitions qu'il lui donne, bien que l'on ne s'y habitue jamais.

Néanmoins, elle ressent comme un besoin d'être régulièrement fouettée, celà la conforte dans l'amour qu'il lui porte.
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