Le policier s'attarda encore une trentaine de secondes sur ces deux lignes parfaitement parrallèles, comme des rails de tramway. Puis, Il leva la canne, cette dernière siffla dans l'air avant de frapper les fesses d'Anne-Marie.

Le canne arriva juste en dessous du coup précédant.

"Trois"

Le coup porta en bas des fesses, juste à la naissance des cuisses.

Anne-Marie pleurait, et cette fois, elle ne put s'empêcher de crier.

Chaque coup augmentait la douleur, qui avait maintenant passé le stade de ce qu'elle pouvait supporter

Anne-Marie se débattait en tirant vainement sur ses attaches, comme pour esquiver le prochain coup de canne.

Elle pleurait maintenant comme comme une gamine. La punition l'infantilisait.

Toute sa pensée était concentrée sur la brûlante douleur de ses fesses.

Et elle en était seulement au quart de sa punition.

Le coup tomba.

"Quatre" dit David

Anne-Marie hurla de douleur.

Le policier maniait la canne avec habilité. Quatre traits très distincts et bien parrallèles traversaient les deux hémisphères de ses fesses.

Le cinquième coup arrtiva.

"Cinq"

Anne-Marie eu comme un cri étouché par les sanglots. Elle demanda en bégayant : " Oh non, s'il vous plaît..., arrêtez, je n'en paux plus "

Manifestement, les fonctionnaires sont habitués à ce genre de supplique des filles punies, et cela n'avait aucune prise sur eux.

Ils avaient une tâche a accomplir, et ils iraient jusqu'au bout.

L'homme attendit quelques secondes puis leva la canne.

Anne-Marie entendit le sifflement de la canne, et la sentit s'abattre en travers de ses fesse.

Le coup porta exactement à l'endroit du précédant. C'est le plus douloureux qu'elle ait eu jusqu'à présent.

"Six"annonça David.

Le policier marqua une pause. Anne-Marie battait des pieds par terre, elle a sanglotait à chaudes larmes, elle pensait ainsi prendre l'assistance à témoin qu'elle ne pouvait pas en supporter davantage.

En fait l'assistance pensait qu'elle avait bien mérité sa punition, et que celle-ci était encore bien légère. En particulier la famille de Suhayla pensait que tout était de sa faute, et que c'est elle qui aurait être le plus punie, et non leur fille et son amie.

Anne-Marie ne se souvenait pas que cette pause marquait la moitié de sa punition.
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