Suhayla donnait des coups de pied en arrière. Anne - Marie se rendit compte que cela avait comme effet de
montrer à l'assistance, les parties les plus secrètes de la jeune femme. Ma punition continua. C'est seulement après que le quinzième coup que le policier s'arrêta. Suhayla fût libérée, elle ne bougea pas du chevalet, et continuait à sangloter. Elle tremblait d'une façon incontrôlée. Les gardes durent la porter par les les épaules, et l'emmena hors de la pièce. C'est alors que l'estomac d'Anne-Marie se noua. Son tour était arrivé. Comme les deux autres filles, elle dut se positionner sur le chevalet, que l'on réajusta pour elle. On l'attacha par ses menottes, et elle a senti que l'on soulevait sa robe pour bien découvrir ses fesses. Anne-Marie entendu quelques commentaires, elle sut par la suite que quelques commentaires fut faits sur la blancheur de ses fesses, en comparaison des ses précédantes amies d'infortunes. Elle a senti les mains d'un homme carresser ses fesses comme pour les jauger. L'homme laissa trainer un pouce jusqu'à son entrejambe. A cette humiliation, se rajouta une autre lorsqu'elle entendit la voix de David qui à son oreille lui souhaitait bonne chance. Il était descendu pour interprétez le comptage des coups. Anne-Marie n'a pas remarqué auparavant l'homme qui s'approcha pour la punir. C'était un jeune policier d'allure athlétique. Il se plaça derrière Anne-Marie, un peu sur le coté, et pris sa distance en plaçant la canne en travers des fesses d'Anne-Marie. Il fit alors siffler la canne en fouettant l'air. Puis, rapidement, il appliqua le premier coup. David annonça, "Un" Anne-Marie ne sentit que l'impact de la canne, en revanche, elle commeçait à avoir une irréssistible sensation de douleur en haut des fesses. Instinctivement, elle remua comme pour atténuer l'impact du coup. Les menottes rendaient ses poignets douloureux, à chaque fois qu'elle sursautait haut. Une ligne pâle se dessinait sur ses fesses, puis commença à virer dans un rouge sombre. La douleur était à ce point intense, qu'elle en devenait presque insupportable. Anne-Marie serrait les dents pour ne pas crier. Le policier marqua une pause d'une trentaine de seconde, puis repris le cours de la punition, en appuyant beaucoup plus le second coup. "Deux" dit David. Anne-Marie bougea encore par saccades. Elle redressa la tête et en pleurant, supplia le policier : " S'il vous plaît, ne frappez si fort, je ne peux pas le supporter " David ne traduit pas cette demande. Maintenant la douleur s'étendait à toute ses fesses; elle tirait sur ses attaches, comme si un paroxisme fût atteind. Ces yaux étaient innondés, et elle savait qu'elle ne pourrait pas retenir ses larmes. |
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