Puis la femme tendit un gant de toilette et un savon à Anne-Marie. elle devait se laver le visage dans un
cuvette d'eau que le policier avait posé sur la table de sa cellule. Quand elle eut finie, la femme examina le visage d'Anne-marie pour s'assurer qu'il n'y restait plus aucune trace de maquillage. Puis, elle fit signe à Anne - Marie de se pencher sur la table. David lui expliqua qu'elle allait vaporiser ses fesses d'un antiseptique, au cas où le cannage la blesserait, comme cela arrive fréquemment au bout du huitième coup insista t-il avec un petit sourire de "compassion". Le coton imbibé d'antiseptique lui donna une sensation de froid sur les fesses. Puis, cela commença à chauffer un peu, enfin, une sensation de brûlure l'envahie quand le produit coula sur ses parties intimes. Anne - Marie put alors relever, et réajuster sa robe. Ensuite, le policier lui passa des menottes, puis l'emmena vers la salle où la punition va être administrée. David marchait derière elle. Quand elle entra dans la pièce, la première chose qu'elle vit en plein milieu, fut une structure en bois en forme de tréteau. Le policier la plaça contre un mur, à coté de Na'ima et de Suhayla, ses deux amis séoudites, qui semblaient l'attendre. Les deux filles portait la même robe qu'elle, et étaient également menottées. Na'ima avait le même âge qu'Anne-Marie, mais Suhayla était plus jeune, elle avait seulement 19 ans. Anne-Marie vit que sa jeune amie, d'habitude si enjouée, pleurait silencieusement. De l'autre coté de la pièce, il y avait un petit groupe de personnes. Le chef de police, mais également David, ce qui ajoutait à son humiliation. Au moins il n'y avait personne d'autre de la comagnie aérienne. Elle reconnu également quelques membres des familles de Na'ima et Suhayla. Le chef de la police se leva, et prononça un long discours. Anne-Marie ne comprenait pas un mot de ce qu'il disait. Quand il eu finit, l'assistance l'applaudie, y compris David. Anne-Marie compris que les canning allaient commencés. Na'ima fut désignée pour passée la première. Elle fut amenée jusqu'au milieu de la pièce, fit le tour du tréteau, puis s'installa. Elle était penchée sur le tréteau, complètement courbée en deux, de telle sorte que ses fesses soient bien en évidence, et tournées du coté de l'assistance. Ses menottes furent attachés sur le devant du tréteau, afin que la fille ne bouge pas. Les longs cheuveux noirs de Na'ima tombaient en avant, et empêchait Anne - Marie de voir le visage de son amie. Une femme policier releva la robe de Na'ima du chemin, découvrant ainsi ses fesse à l'assisrtance. C'est alors qu' Anne-Marie se rendit vraiment compte que les canning étaient donnés sur les fesses nues. Le chef de police se diraigea vers une table, et y pris une longue canne. |
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